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19 janvier 2012 | Gisèle Bolduc
Mise à jour : 16 novembre 2020
Hélène Belleau, professeure-chercheure au Centre Urbanisation Culture Société de l’INRS, publie deux ouvrages aux Presses de l’Université du Québec, l’un intitulé Quand l’amour et l’État rendent aveugle. Le mythe du mariage automatique, un essai sur l’union libre et l’autre intitulé AIMER ET COMPTER? Droits et pratiques des solidarités conjugales dans les nouvelles trajectoires familiales, un collectif qu’elle codirige avec Agnès Martial.
Sociologue, directrice d’une revue internationale Enfances Familles Générations et directrice de Famili@, une banque de données de la recherche sur la famille au Québec, Hélène Belleau compte à son actif de nombreuses publications où elle aborde les thèmes de : l’argent, le couple, la famille, l’union libre, le droit, la parenté, la filiation, l’adoption, les personnes âgées et les proches aidants.
Le Centre Urbanisation Culture Société vous invite à consulter les sommaires et tables des matières de ces récentes publications, et à vous procurer, dès maintenant, ces ouvrages en format papier ou électronique aux Presses de l’Université du Québec.
(1) Extrait du sommaire de la publication « Quand l’amour et l’État rendent aveugle. Le mythe du mariage automatique » : « Cet essai vise à éclairer, d’un point de vue sociologique, l’augmentation des unions conjugales en marge du droit en présentant le point de vue des couples. Les transformations récentes dans les relations économiques entre conjoints ont contribué à mettre à l’avant-scène l’idéal de l’amour, l’autonomie et l’égalité de chacun dans la vie à deux. Or le droit, au contraire, convie les conjoints à
(2) Extrait du sommaire de la publication « AIMER ET COMPTER? Droits et pratiques des solidarités conjugales dans les nouvelles trajectoires familiales » : « L’évolution des règles juridiques entourant ces nouvelles trajectoires familiales semble souvent ignorer les asymétries qui traversent la réalité des arrangements noués au sein des couples, comme les transactions à l’oeuvre à la suite des séparations. Aussi, des chercheurs de la France, de la Belgique, de la Suisse et du Québec ont été amenés à développer une réflexion commune autour de la notion de « solidarité conjugale » en étudiant les normes et usages de l’argent et des biens de ces solidarités. »