- Vie universitaire
Faire rayonner l’INRS tout au long de l’année : c’est l’engagement des sept ambassadrices et ambassadeurs de 2023-2024.
Portraits des sept ambassadrices et ambassadeurs de l’INRS pour l’année 2023-2024
Avec la rentrée, ce sont sept ambassadeurs et ambassadrices qui entrent en poste à l’INRS. Sélectionnés parmi les membres étudiants qui se démarquent par leur implication et leur sentiment d’appartenance envers l’établissement, ces bénévoles sont nommés pour l’année scolaire qui débute ces jours-ci.
Leur rôle consiste à représenter l’INRS auprès de partenaires actuels et potentiels, à faire rayonner les programmes d’études lors de salons et d’événements de recrutement au Québec, et de communiquer avec de futurs étudiants au sujet des parcours et des stages de recherche offerts par l’établissement.
Ces bénévoles sont répartis entre les quatre centres de recherche et de formation de l’INRS. Grâce à leur proximité des réalités du terrain, ils représentent les intérêts de toute la communauté étudiante. Une bourse de 1000 $ leur est octroyée pour ce mandat annuel, qui s’échelonne du 1er mai au 30 avril.
Après une maîtrise en biochimie et un diplôme d’études supérieures spécialisées en pharmacologie clinique à l’Université de Montréal, Kevin Coutu décide de poursuivre son parcours au doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux sous la direction du professeur du Centre Énergie Matériaux Télécommunications (EMT), Marc A. Gauthier. La chimie des polymères et la nanomédecine sont des expertises au cœur des intérêts des secteurs universitaires et industriels, entre autres pour leurs applications dans le développement de médicaments.
« En tant que représentants de l’INRS, nous sommes en mesure de valoriser notre recherche de premier plan à l’échelle nationale et internationale. Bien qu’il soit courant de penser que toutes les idées ont déjà été utilisées, il est important de comprendre que la recherche explore un large éventail de possibilités infinies. Mon plaisir est de partager cette vision, qui se concentre sur la découverte d’innovations. »
Kevin Coutu
Avec l’obtention de sa maîtrise en physique à l’Université de Montréal, Maria a su qu’elle nourrissait une grande passion pour cette discipline. C’est pourquoi, après quelques années en enseignement, elle décide d’entreprendre des études de doctorat dans ce domaine. Son projet porte sur l’étude des propriétés optiques des nanoparticules d’oxyde de magnésium. Son doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux lui a déjà permis de compléter des stages au sein d’universités étrangères, à l’Université de sciences appliquées de Munich en Allemagne et à l’Université de Toulon en France, pour enrichir son expérience notamment en simulations numériques. En 2023, Maria participe au projet Apprentis chercheurs à titre de mentore pour présenter les plaisirs de la recherche scientifique à une élève du secondaire. Elle travaille actuellement au sein du groupe de nanophotonique du professeur Andreas Ruediger au centre EMT.
« Un de mes rêves dans la vie est d’apprendre à faire de la recherche selon la stricte méthode scientifique et avec intégrité au travers de mes études de doctorat en sciences. Je suis fière de dire que l’INRS est un acteur dans l’accomplissement de ce rêve. On y est en contact avec des étudiants et des chercheurs qui viennent de partout dans le monde, et un corps professoral toujours disponible pour nous. L’INRS, une université qui met l’accent sur l’innovation, est selon moi l’environnement par excellence pour apprendre à être chercheur. C’est pourquoi je souhaite promouvoir et faire rayonner l’INRS au Québec et à travers le monde. »
Maria Dekermenjian
Passionné de science en général et de recherche scientifique en particulier, Béhibro Ange-Delon est diplômé d’une licence en sciences de l’eau et d’une maîtrise en sciences et gestion de l’environnement. Il entreprend aujourd’hui un doctorat en sciences de l’eau au Centre Eau Terre Environnement (ETE), sous la direction du professeur Kokou Adjallé et en codirection avec l’Université de Sherbrooke et l’Université Laval. Ses travaux portent sur le développement d’une nouvelle approche de prétraitement des biomasses lignocellulosiques pour la bioraffinerie de deuxième génération. Engagé auprès de la communauté étudiante au sein de divers comités, Béhibro Ange-Delon a été secrétaire puis président de la Fédération des étudiants de l’INRS (FEINRS). C’est pour participer au rayonnement extérieur de l’INRS et communiquer sa passion pour la science qu’il s’est engagé à être ambassadeur.
« L’INRS est régulièrement classé 1er en intensité de recherche au Canada. Y étudier c’est donc faire le choix, avant tout, d’être dans une université avant-gardiste. C’est ensuite décider d’être au cœur de la recherche, de bénéficier de l’excellente expertise de son corps professoral, et de profiter de parcours de formation uniques et adaptés au marché de l’emploi. L’INRS c’est aussi une administration de qualité engagée auprès de sa communauté. »
Ange-Delon Konan Behibro
Après une maîtrise en microbiologie appliquée, la passion d’Emmy pour la recherche scientifique l’a menée à entreprendre un doctorat en biologie. Sous la direction du professeur Étienne Yergeau, du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie (AFSB), elle tente de démystifier le lien entre la diversité et la fonctionnalité du microbiome du sol dans les agroécosystèmes de l’Abitibi-Témiscamingue, afin d’implanter potentiellement de grandes cultures agricoles durables dans les régions périphériques du Québec. Membre de la communauté de l’INRS depuis trois ans, elle s’implique dans différents aspects de la vie étudiante, notamment comme représentante étudiante de la maîtrise en microbiologie et biotechnologie, comme mentore pour le programme Apprentis chercheurs et comme membre du comité écoactif.
« Mon implication au sein de l’INRS m’a fait réaliser l’importance de faire partie d’une communauté stimulante. Faire partie de cette communauté est une grande fierté pour moi, et je suis dévouée à faire rayonner cet établissement universitaire autant auprès du grand public qu’au sein de la communauté scientifique. »
Emmy L’Espérance
Avant de s’engager dans le programme de doctorat en études urbaines, Naomie a complété une maîtrise en science politique, avec une concentration en études féministes à l’UQAM. Ses travaux portent sur les espaces et les relations que les femmes autochtones créent et maintiennent en milieu urbain afin de favoriser leur bien-être. Naomie travaille sous la direction de la professeure du Centre Urbanisation Culture Société (UCS), sous la direction de Stéphane Guimont Marceau.
« J’ai décidé de devenir ambassadrice afin de participer au rayonnement des travaux de recherche et de vulgarisation menés au sein des quatre centres qui forment l’INRS. C’est également une manière pour moi d’entrer en relation et d’être un point de contact pour les membres de ma communauté étudiante. »
Naomie Léonard
Adeline débute ses études par un diplôme universitaire de technologie à l’Institut universitaire de technologie de Laval en France, qui lui a permis de poursuivre son stage de fin d’études à l’INRS. Elle effectue ensuite un baccalauréat en biologie cellulaire et physiologie, à l’Université de Clermont-Auvergne, puis rejoint l’INRS pour une maîtrise en sciences expérimentales de la santé, auprès du professeur Jacques Bernier. Ce contact avec les domaines de la cancérologie et de l’immunologie l’incite à se lancer au doctorat en biologie, cette fois sous la direction du professeur Kessen Patten. Parallèlement, Adeline est présidente de l’association étudiante du Centre AFSB de l’INRS.
« L’INRS m’a offert ma première expérience de recherche. C’est cette même expérience qui m’a permis de décider de mon avenir. Avec mon engagement à titre d’ambassadrice, je souhaite que d’autres étudiantes et étudiants puissent avoir cette même chance. »
Adeline Paimboeuf
C’est après l’obtention d’un baccalauréat en administration des affaires en Tunisie, son pays d’origine, qu’Oussama Trabelsi décide de poursuivre ses études au Québec. Actuellement étudiant à la maîtrise en études urbaines sous la direction des professeurs Nick Revington et Cédric Brunelle au centre UCS, il a eu l’occasion de se joindre à des projets passionnants en tant qu’auxiliaire de recherche et de collaborer avec des chercheuses et des chercheurs d’autres universités. Axés sur la relation entre la proximité géographique des universités et la transformation des quartiers dans les agglomérations canadiennes entre 1981 et 2016, ses travaux témoignent de son vif intérêt pour l’économie et la géographie urbaines, les méthodes quantitatives et la statistique spatiale.
« En entamant mon second mandat d’ambassadeur à l’INRS, je me remémore l’accompagnement précieux des ambassadeurs qui m’ont accueilli au sein de cet établissement distingué. En tant qu’étudiant international, j’ai bénéficié de leur soutien pour en découvrir la richesse. Aujourd’hui, c’est à mon tour de guider les futurs membres étudiants, de leur faire découvrir nos programmes et de mettre en lumière notre expertise et notre excellence en recherche scientifique. »
Oussama Trabelsi