- Vie universitaire
Pour une société durable et un milieu de vie sain, l’INRS propose un plan d’action qui appuie les initiatives visant à diminuer son empreinte environnementale.
Le Plan a pour objectifs de consolider les acquis et d’améliorer le bilan général de l’INRS en développement durable.
Depuis sa fondation, l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) place le développement durable au cœur de ses recherches et de ses contributions au développement économique, social et culturel du Québec. Que ce soit pour la recherche, pour la formation ou encore pour la protection de l’environnement, l’INRS veut consolider le leadership de ses membres dans ce domaine et produire un Plan d’action institutionnel en développement durable. Celui-ci favorisera et soutiendra des actions institutionnelles visant, entre autres, la réduction de l’empreinte environnementale et la gestion des matières résiduelles, tout en relevant le niveau d’expertise de l’INRS en matière de recherche responsable.
« Il est important de placer la responsabilité sociale de l’INRS au centre de nos actions. En conséquence, nous nous engageons à soutenir et à encourager les initiatives de tous les membres de la communauté. Avec ce plan d’action, nous participerons encore plus activement aux différents milieux de vie qui nous entourent. »
Luc-Alain Giraldeau, directeur général de l’INRS
« Lorsque nous avons terminé le programme scientifique institutionnel, il est devenu évident que les enjeux en lien avec le développement durable se trouvaient au cœur des priorités des chercheuses et des chercheurs de l’INRS. Nous voulons maintenant aller plus loin et être inspirants dans nos pratiques, au-delà de la recherche elle-même. »
Claude Guertin, directeur scientifique par intérim
Plus largement, le Plan a pour objectifs de consolider les acquis et d’améliorer le bilan général de l’établissement en développement durable. À cet effet, la Direction scientifique a créé un poste de conseillère en développement durable. Cette nouvelle collaboratrice, Maxine Dandois-Fafard, pourra accompagner et orienter les membres de la communauté réalisant des actions en développement durable à l’INRS, tant en recherche qu’en ce qui concerne les installations et le milieu de vie professionnel.
La gestion des matières résiduelles est un enjeu pour beaucoup d’établissements universitaires. En effet, les activités d’enseignement et de recherche engendrent d’importantes quantités de matières résiduelles en classe, en laboratoire ou dans les espaces communs, telles que les déchets plastiques, les protections individuelles à usage unique ou les résidus chimiques.
En novembre 2021, l’INRS annonçait un financement de 30 000 $ afin de soutenir des projets pilotes axés sur la réduction des matières résiduelles. Sous forme de concours interne, ce financement permet d’accompagner les personnes dont les projets ont été retenus dans leurs démarches pour réduire l’incidence des activités sur l’environnement.
Le Comité vert du 490 (regroupant des membres étudiants et employés du Centre Eau Terre Environnement et de la Commission géologique du Canada) a reçu 10 000 $ pour l’amélioration de la gestion des matières résiduelles de l’édifice situé au 490, rue de la Couronne, à Québec.
Le Comité vert de l’Association étudiante du Centre Urbanisation Culture Société a reçu un financement de 1 200 $. Leur objectif est de mettre en place des actions de sensibilisation aux matières résiduelles et au climat, auprès de la communauté de l’UCS.
Au cours des prochaines semaines, le Plan d’action fera l’objet de consultations auprès du corps professoral, des membres étudiants et de l’ensemble des membres employés de l’INRS. Un sondage en ligne est aussi offert aux membres de la communauté jusqu’au 7 avril 2022.
Ces rencontres permettront de mieux cerner les priorités et les besoins des membres de la communauté.
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