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Nous contribuons au développement économique, social et culturel du Québec.
Le directeur général de l’INRS réitère notre engagement dans la lutte contre la haine et la misogynie, ici et ailleurs.
Photo : Sebastian Molina fotografía, Unsplash
Le 6 décembre 1989, un homme armé a assassiné 14 femmes à l’école Polytechnique Montréal. La Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes est l’occasion de souligner le triste anniversaire de cet attentat antiféministe.
C’est le moment de nous recueillir et de nous remémorer les noms des femmes qui y ont perdu la vie : Geneviève Bergeron, Hélène Colgan, Nathalie Croteau, Barbara Daigneault, Anne-Marie Edward, Maud Haviernick, Maryse Laganière, Maryse Leclair, Anne-Marie Lemay, Sonia Pelletier, Michèle Richard, Annie St-Arneault, Annie Turcotte et Barbara Klucznik-Widajewicz.
C’est aussi le moment de nous rappeler qu’au Canada et dans le monde, les femmes sont encore exposées à différentes formes de violences et de discriminations inacceptables. Certaines parmi elles sont disproportionnellement touchées, comme les femmes autochtones, les femmes racisées, les femmes sans statut, les femmes en situation de handicap ou les femmes trans.
« Je souhaite réaffirmer l’engagement de l’INRS à lutter contre la haine et la misogynie qui conduisent à des actes horribles comme le féminicide de 1989, mais aussi à lutter contre toutes les formes de sexisme qui s’immiscent dans les interactions quotidiennes et auxquelles le milieu académique n’échappe pas. »
— Luc-Alain Giraldeau, directeur général
Je vous invite à faire appel aux ressources mises en place pour vous, si vous en avez besoin, et à faire votre part pour faire de l’INRS un milieu de vie sain, sécuritaire et empreint de respect.
- Pour déposer une plainte en lien avec du harcèlement psychologique ou des violences à caractère sexuel
- Pour du soutien psychologique
- Pour communiquer avec le Comité d’action contre les violences à caractère sexuel (1 888 401-VACS ou comitevacs@inrs.ca)
