- Science et société
-
VOUS ÊTES
- Membre de la communauté
- Futur étudiant
- Étudiant
- Professeur
- Diplômé
- Média
- Conseillers en orientation
- Retraité de l’INRS
- Nous joindre
- Boutique INRS
- Emplois
- EN
-
Les Études
Nous formons la relève en recherche, capable d'innovation scientifique, sociale et technologique.
-
La recherche
Nous trouvons des solutions par la recherche interdisciplinaire, en collaboration avec nos partenaires.
-
L'INRS
Nous contribuons au développement économique, social et culturel du Québec.
L’INRS se tient aux cotés des Premiers Peuples et accompagne leur volonté de faire la lumière sur ces drames.
C’est avec une profonde tristesse que l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) et sa communauté accueillent la confirmation de la découverte de nouvelles sépultures sur le site d’anciens pensionnats autochtones, un drame qui ébranle le pays tout entier.
L’INRS se tient aux côtés des Premiers Peuples et accompagne leur volonté de faire la lumière sur ces drames en rendant justice à tous les enfants disparus et en apportant la guérison à leurs familles.
« Ces tragédies reflètent un chapitre sombre et important de l’histoire du Canada qui ne doit jamais être oublié. Je me joins à la communauté de l’INRS pour offrir nos sincères condoléances aux familles de ces enfants disparus, aux instances des Premières Nations, des Métis et des Inuits ainsi qu’à toutes les survivantes et à tous les survivants des pensionnats »
Luc-Alain Giraldeau, directeur général de l’INRS
Bien que ces moments soient extrêmement douloureux, ces découvertes tragiques nous rappellent encore une fois l’importance de comprendre l’ampleur des atrocités du passé afin d’aller de l’avant tous ensemble et d’amorcer un processus de réconciliation.
L’INRS réaffirme son engagement à reconnaître les enjeux autochtones dans les préoccupations sociétales d’hier et d’aujourd’hui, et à répondre à celles-ci en contribuant à mettre en valeur l’apport des Autochtones à la recherche universitaire, à la science et à l’avancement des connaissances.
« En tant qu’établissement universitaire, il est de notre responsabilité d’entendre les voix autochtones, d’en reconnaître la pertinence et d’en comprendre la portée. Nous nous engageons à faire ce travail afin d’aller de l’avant dans nos projets de réconciliation, de reconstruction et de décolonisation », a ajouté M. Giraldeau.
