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Financement pour un laboratoire de biotechnologie environnementale et de chimie verte

11 août 2021 | Audrey-Maude Vézina

Mise à jour : 11 septembre 2021

Les subventions reçues permettront l’acquisition d’infrastructures de recherche orientées vers le développement durable et l’environnement.

Le professeur Kokou Adjallé devant une cuve de biofermentation dans le Laboratoire de biotechnologies environnementales.

Le professeur Kokou Adjallé dans le Laboratoire de biotechnologies environnementales. Photo : INRS

Le professeur Kokou Adjallé, de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), a reçu plus de 177 000 $ du Fonds des leaders John-R.-Evans (FLJE), géré par la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI), et des ministères de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES).

Le FLJE a pour objectif de soutenir les établissements dans le recrutement et le maintien en poste de chercheuses et chercheurs remarquables. Le financement octroyé permet à ces derniers d’acquérir des équipements facilitant la réalisation de travaux innovants. Ce fonds permet aussi aux établissements de présenter une offre de soutien à la recherche concurrentielle lorsqu’il est jumelé au financement de partenaires.


Deux axes prometteurs

Cette somme permettra au professeur Adjallé et à son équipe de réaliser des travaux dans deux axes de recherche, soit la biotechnologie environnementale, en lien avec les bioénergies et les bioproduits, et la chimie verte, orientée vers le développement de matériaux biosourcés plus écologiques.

« Ce sont deux domaines de recherche de plus en plus sollicités, tant pour la mise en œuvre de mesures de développement durable qu’en protection de l’environnement. Mon équipe de recherche et moi-même sommes très heureux, puisque cela nous permet de poursuivre nos recherches dans ces champs d’expertise. »

Kokou Adjallé, responsable scientifique du Laboratoire de biotechnologies environnementales

Les nouveaux équipements contribueront à développer des procédés et des produits pour les marchés québécois et canadien dans les domaines de la bioraffinerie et de l’économie circulaire. Ils permettront également de former la relève scientifique et du personnel hautement qualifié, menant à la création d’emplois.