Le Laboratoire de biotechnologies environnementales de l’INRS reçoit un appui de taille du gouvernement du Canada, soit plus de 1,8 million de dollars par l’entremise de Développement économique Canada. Ses capacités à valoriser des technologies environnementales et à développer de nouveaux partenariats avec le secteur privé seront accrues. L’honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, a annoncé aujourd’hui cette importante aide financière dans les laboratoires de l’INRS situés dans le Parc technologique du Québec métropolitain.
De gauche à droite : Le professeur Rajeshwar Dayal Tyagi, le directeur du Centre Eau Terre Environnement de l’INRS, Jean-François Blais, la professeure Satinder Kaur Brar, le directeur régional de Développement économique Canada, Youri Rousseau, le directeur général de l’INRS, Luc-Alain Giraldeau, le président de d’Ozymes inc., Kofi Ka Abokitse, l’associé de recherche de l’INRS, Mathieu Drouin, la présidente-directrice générale du Parc technologique du Québec métropolitain, Natalie Quirion, le ministre du député de Québec et ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos.
« Le gouvernement du Canada est fier de soutenir les efforts de l’INRS, qui visent à améliorer l’efficacité d’un laboratoire dans le but de faciliter la mise au point de technologies propres, au bénéfice des entreprises. La R et D dans la grande région de Québec, tout comme ailleurs au Québec, est un fort moteur de développement économique et je suis heureux que le gouvernement soutienne son développement responsable », a déclaré le ministre Duclos.
Créé avec le soutien de la
Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) et opérationnel depuis 2012, le Laboratoire de biotechnologies environnementales met à la disposition de la communauté scientifique et de l’industrie son expertise multidisciplinaire dans le domaine des biotechnologies. Avec l’optimisation de ses équipements de pointe, ce laboratoire permet de développer et de mettre à l’échelle des procédés de bioconversion des eaux usées, des boues d’épuration et autres biomasses résiduelles en produits à haute valeur ajoutée.
« Nous soulignons cet investissement important du gouvernement du Canada, et plus spécifiquement de DEC, qui est crucial pour le transfert de technologies propres dans les entreprises. Notre laboratoire est le chaînon manquant entre la recherche et l’industrie qui facilitera la commercialisation de bioproduits. L’INRS est fier de contribuer à l’innovation en matière d’environnement », a précisé le directeur général de l’INRS, monsieur Luc-Alain Giraldeau.
Au cours des dernières années, 25 technologies vertes ont été développées à l’INRS et font l’objet d’études pour évaluer leur potentiel de commercialisation. ♦
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