Retour en haut

Innovations et technologies

L’INRS détient des technologies et des applications prêtes à être valorisées sous forme de nouveaux produits, de services ou de procédés.

Découvrez quelques projets de recherche ayant généré des technologies innovantes à votre portée.

Améliorer le réseau d’aqueduc de la Ville de Québec

Pour étudier la détérioration structurale des réseaux de distribution d’eau potable et les processus et moyens d’intervention, en collaboration avec la Ville de Québec, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) octroie une subvention de 120 000 $ sur trois ans à l’INRS qui possède un laboratoire de pointe de gestion hydraulique des réseaux de distribution d’eau potable dans ses installations situées au Parc technologique du Québec métropolitain. En savoir plus

Bioplastique en bioréacteurs

Dans le Laboratoire de biotechnologies environnementales de l’INRS, l’entreprise Bosk utilise trois bioréacteurs de 2 000 L reliés par un enchevêtrement de tuyaux en métal pour roder son procédé de production de bioplastique avant de bâtir une usine à plus grande échelle au courant de l’année 2020. Son produit phare, le PHA (pour « polyhydroxyalkanoate »), est un polymère bactérien qui constitue un excellent substitut de nombreux plastiques traditionnels. En savoir plus

MÉTOX : Création d’un procédé de décontamination des sols vers l’entreprise

La commercialisation du procédé MÉTOX® de l’INRS a permis de tester un procédé de traitement des sols contaminés sur le site de la Pointe-aux-Lièvres afin de résoudre certaines problématiques identifiées par la Ville de Québec, notamment les sols contaminés par des cendres d’incinération. L’innovation technologique de l’entreprise Métox est le résultat d’un procédé développé par l’INRS utilisé sous licence. En savoir plus


SIGMA Devtech inc. commercialise une technologie pour réduire les émissions de CO2

L’INRS a mis au point une méthode de production d’oxyde de magnésium caractérisée par une faible empreinte carbone tout en valorisant des résidus miniers. La licence exclusive octroyée à SIGMA Devtech inc. permet l’exploitation commerciale de la technologie de l’INRS et d’utiliser le minerai de serpentine, largement disponible au Québec, combiné au CO2 émis par les industries, pour produire un oxyde de magnésium de haute pureté. L’oxyde de magnésium est utilisé dans de nombreux marchés allant de l’alimentation animale à la production d’acier. En savoir plus

Création du Cercle du mieux-être et de la guérison communautaire Mikinakw

Pour prévenir la violence envers les femmes autochtones et soutenir les familles, le Conseil des Atikamekw de Manawan, en collaboration avec l’INRS et plusieurs autres partenaires, s’allient pourconcevoir un nouveau modèle de guérison communautaire. Le projet bénéficie d’un financement de 1 millions de dollars du ministère des Femmes et de l’Égalité des genres. En savoir plus

Équipements universitaires de pointe à la portée des PME

L’Infrastructure de nanostructures et femtoscience de l’INRS est l’une des sept plateformes technologiques du réseau REPERE, une initiative de Prima Québec qui permet aux entreprises utilisant des matériaux avancés d’accéder à des équipements de pointe et à l’expertise qui y est rattachée. En savoir plus


Prévenir plutôt que guérir avec Bio K Plus International inc.

L’INRS a joué un rôle important dans l’approbation par Santé Canada du produit probiotique Bio-K+MD de la compagnie Bio-K Plus International inc. Grâce aux résultats des travaux réalisés à l’INRS, il est devenu le seul produit homologué au monde en prévention de diarrhées associées à la prise d’antibiotiques et aux infections à Clostridium difficile. Ce partenariat de l’INRS et Bio-K Plus International inc. a notamment contribué à la mise en valeur et au transfert de notre expertise dans le domaine des probiotiques ainsi qu’à la formation d’une relève hautement qualifiée. Le diplômé de l’INRS Mathieu Millette témoigne de son expérience dans cette vidéo.


Travailler en amont au profit des bassins versants

L’utilisation sans cesse grandissante des ressources en eau et les changements climatiques en cours font en sorte que la prévision hydrologique est l’un des aspects les plus importants de l’hydrologie appliquée. La prévision hydrologique est essentielle au contrôle des inondations, à la régularisation des cours d’eau, à la production hydroélectrique, au dimensionnement des ouvrages hydrauliques et au contrôle de la pollution.

logo-ceqeau_750

Afin de répondre adéquatement à ces besoins de la société, les hydrologues développent des outils que l’on appelle modèles hydrologiques. Ces modèles ont évolué très rapidement depuis quelques décennies avec l’avènement d’ordinateurs de plus en plus puissants. Le modèle hydrologique CEQUEAU a été développé à l’INRS par le professeur honoraire Guy Morin et son équipe. Il s’agit d’un modèle matriciel déterministe d’usage souple, qui prend en compte les caractéristiques physiques des bassins versants ainsi que leurs variations dans l’espace et dans le temps. Le modèle CEQUEAU a été appliqué à plusieurs rivières du Québec, du Canada et d’ailleurs dans le monde. Au Québec, il a été utilisé pour une soixantaine de rivières et a servi à déterminer les crues maximales probables (CMP) de plusieurs bassins versants du Nord du Québec. Il a aussi été fréquemment utilisé par divers organismes québécois pour la prévision des débits en temps réel.

La nouvelle version est une traduction du modèle original en C++, réalisée par l’équipe de prévision hydrologique de Rio Tinto Alcan (RTA). Les programmes sont compilés pour les plateformes Windows 32 et 64 bits. Une série de scripts et fonctions Matlab ont aussi été développés par l’équipe de RTA pour faciliter l’utilisation du modèle. Pour plus d’information, veuillez communiquer avec le professeur André St-Hilaire.