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21 avril 2021 | Audrey-Maude Vézina
Mise à jour : 21 avril 2021
La Journée mondiale de la créativité et de l’innovation, qui se tient le 21 avril, est l’occasion de revenir sur les bons coups de l’année 2020-2021.
Malgré les défis liés à la pandémie, la créativité et l’innovation en recherche étaient au rendez-vous à l’INRS. La dernière année a en effet vu naître et aboutir de nombreux projets.
Le trimestre d’automne 2020 a débuté en force avec le lancement du nouveau site Web, fruit de milliers d’heures de travail. Cette plateforme est une porte d’entrée vers la recherche scientifique novatrice et l’enseignement exceptionnel qui se font au sein de l’établissement universitaire.
En novembre, l’INRS a contribué à la création du Centre intersectoriel d’analyse des perturbateurs endocriniens (CIAPE). Celui-ci regroupe des chercheuses et chercheurs de l’établissement universitaire et d’ailleurs, favorisant les collaborations internationales et interdisciplinaires.
C’est sur une note positive que l’année 2020 s’est terminée, avec le dévoilement du palmarès de Research Infosource, qui classe l’INRS premier en intensité de recherche au Québec et au Canada. L’établissement universitaire a aussi annoncé la création de trois nouvelles chaires de recherche du Canada, chacune dirigée par une chercheuse de l’INRS.
Pour bien entamer 2021, l’INRS a annoncé le financement de cinq projets de recherche novateurs portant sur la COVID-19. Ce levier financier supplémentaire a soutenu ces projets intersectoriels portant sur des sujets tels que la détection et les tests diagnostiques, jusqu’aux effets de la pandémie sur la société.
Quelques mois plus tard, en mars, l’INRS a inauguré son nouveau laboratoire de niveau de confinement 3 (NC3). Ce dernier permet de manipuler des agents pathogènes préoccupants pour la santé publique québécoise et mondiale dans des conditions sécuritaires.
En mars également, l’INRS a lancé cinq unités mixtes de recherche, en partenariat avec cinq universités du Réseau de l’Université du Québec, sur des thématiques porteuses pour la société québécoise. Unique au Québec, ce projet vise à créer et à consolider des pôles de recherche et d’innovation dans les domaines des matériaux et des technologies pour la transition énergétique; de la cybersécurité; de la transformation numérique en appui au développement régional; de la santé durable; et des études autochtones.
Le trimestre d’été s’annonce également synonyme de créativité et d’innovation grâce à l’engagement de la communauté de l’INRS, entre autres avec la collation des grades qui soulignera le succès des plus récents membres diplômés. L’INRS remettra aussi ses prix Planète qui reconnaissent l’excellence en recherche et en enseignement de ses professeures et professeurs.
Les derniers mois s’annonçaient difficiles avec les restrictions sanitaires. L’ensemble de la communauté de l’INRS a toutefois su s’adapter et poursuivre ses travaux de recherche et ses activités régulières, tant les membres du corps professoral ou étudiant que le personnel administratif.