Vous étudiez à l’INRS et vous aimeriez partager votre passion pour votre institution? Devenez ambassadrice ou ambassadeur! Jouez un rôle-clé lors d’événements spéciaux, d’activités de recrutement et de consultations.
Votre rôle
Vous ferez rayonner l’INRS comme institut de recherche universitaire incontournable pour les partenariats et la formation des cheffes et chefs de file scientifiques. Vous ferez la promotion de ses programmes et projets d’études, de ses stages en recherche, de ses activités de recherche dans des secteurs stratégiques pour le développement économique, culturel et social du Québec, et de son corps professoral.
La durée du mandat
Un mandat dure un an, du 1er mai au 30 avril, et est renouvelable pour une année supplémentaire.
Déposez votre candidature
Le défi vous intéresse? Sachez que la maîtrise de la langue française est obligatoire pour devenir ambassadrice ou ambassadeur.
Votre dossier de candidature doit comprendre :
Faites parvenir votre candidature auprès du Service des études supérieures et de la réussite étudiante : bbve.sesre@inrs.ca
Les critères d’évaluation
Les candidatures seront évaluées en fonction de quatre critères pondérés sur une note de 100.
La bourse
Pour souligner cet engagement étudiant, une bourse de 1 000 $ est versée à chaque ambassadrice et ambassadeur.
Après un Baccalauréat en géographie humaine à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Abel Latyr Sarr a décidé de poursuivre son parcours académique à l’INRS, le seul établissement universitaire au Québec dédié exclusivement à la recherche de haut niveau aux 2e et 3e cycles. Actuellement étudiant en maitrise de recherche en études urbaines, sous la direction du Professeur Nick Revington, au Centre Urbanisation Culture Société (UCS) de Montréal, ses travaux de recherche portent sur la relation entre les universités et les villes dans le cadre du développement urbain, de la gentrification et de la studentification.
Son rôle d’ambassadeur lui permettra d’abord de transmettre sa passion aux autres chercheurs et de leur faire comprendre pourquoi l’INRS est un acteur incontournable dans la recherche scientifique, et ensuite d’offrir une perspective de grande valeur aux activités de recrutement et de rayonnements de l’INRS.
Après un baccalauréat en biochimie et une maîtrise en biologie dans le domaine de l’écotoxicologie, Madeleine s’est intéressée aux effets des polluants environnementaux sur la santé humaine. Sous la direction d’Isabelle Plante du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie, elle travaille sur le développement de modèles cellulaires pour les études toxicologiques du cancer du sein pour remplacer les modèles animaux. Elle utilise ces modèles pour élucider les effets néfastes de perturbateurs endocriniens auxquels sont fortement exposés les humains. Ayant travaillé avec des polluants émergents pendant son projet de maîtrise, elle se donne pour mission de donner à la communauté scientifique des outils pour les études toxicologiques de ces composés et ainsi compenser la vitesse de création de produits de remplacement. Elle est présidente du comité de la relève du Centre intersectoriel d’analyse des perturbateurs endocriniens (CIAPE) et anime leur balado « PerturbAction ». Madeleine a aussi été sur le comité d’organisation du Congrès Armand-Frappier édition 2023 et s’implique à présent comme vice-présidente de l’Association Étudiante en Santé Biotechnologie de l’INRS (AESBI).
Amira a commencé son parcours à l’Institut National des Sciences Appliquées et de Technologie (INSAT) en Tunisie, où j’ai obtenu mon diplôme d’ingénieur en chimie industrielle. Aujourd’hui, elle poursuit une aventure scientifique à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) au Centre Énergie Matériaux Télécommunications (EMT) sous la supervision du Professeur Andreas Ruediger. Son projet? Manipuler les propriétés des nanoparticules pour repousser les frontières de la photocatalyse, avec l’ambition de transformer la lumière en solutions durables pour notre planète. C’est cette passion pour l’innovation et le désir de repousser les limites du possible qui l’ont motivée à devenir ambassadrice de l’INRS. Amira souhaite partager cette passion et inspirer la prochaine génération de scientifiques à explorer de nouvelles frontières dans la
science des matériaux.
Après un baccalauréat en biochimie à l’UQAM, Alex a poursuivi ses études à l’INRS où il a complété une maîtrise en microbiologie et biotechnologie. Animé par une passion pour la biologie structurale et la bio-informatique, il s’est engagé dans un doctorat sur mesure en ingénierie des protéines et biophysique intégrative, au sein du laboratoire du professeur Nicolas Doucet, au centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’INRS. Ses travaux de recherche portent sur le développement d’un outil bio-informatique permettant de concevoir de nouvelles protéines adaptées à des besoins en santé ou en milieu industriel. Alex aspire à concevoir des solutions technologiques qui facilitent la recherche en ingénierie des protéines, tout en rendant la science plus accessible au grand public et en inspirant la prochaine génération de scientifiques.
Originaire de Tunisie, Kayoum Djedidi est doctorant en télécommunications à l’INRS – Centre Énergie Matériaux Télécommunications, sous la supervision du professeur Tarek Djerafi. Il travaille sur un projet de caractérisation de canal mmWave en temps réel, intégrant des systèmes embarqués, le traitement du signal et des architectures FPGA avancées. Il est titulaire d’un diplôme national d’ingénieur en microélectronique et systèmes embarqués de l’Institut Supérieur d’Informatique et de Mathématiques de Monastir (ISIMM) ainsi que d’une licence en systèmes embarquées de l’École Supérieure des Sciences et Techniques de Sousse (ESSTHS). Fort de plus de trois années d’expérience dans le développement de systèmes en temps réel sur FPGA, les systèmes embarqués, la robotique et les applications RF, il est également cofondateur et PDG de OORB, une startup Deep-Tech qui démocratise la robotique éducative avec l’AI. Très actif au sein de l’IEEE, il occupe plusieurs postes à l’échelle locale et internationale et s’engage fortement dans la vulgarisation scientifique, la collaboration open-source et l’impact communautaire en tant que volontaire.
Ancien nageur de compétition, amateur de pêche, de canot et de plein air en général. Ce fut naturel pour Julien de se tourner vers l’écotoxicologie aquatique après avoir obtenu son baccalauréat en chimie à l’Université Laval. Il a entrepris une maîtrise en sciences de l’eau sous la direction des professeurs Claude Fortin et Séverine Le Faucheur, où il a eu la piqûre pour la recherche. Aujourd’hui au doctorat en sciences de l’eau sous la direction des professeurs Patrice Couture, Anne Crémazy et Claude Fortin au Centre Eau Terre Environnement, Julien travaille sur la toxicité de deux métaux critiques, le platine et le palladium, pour un escargot et un salmonidé d’eau douce.
Après avoir complété une maîtrise en biologie et écologie marines à l’Université de Bordeaux en France, Flavie Desreac a choisi de poursuivre son intérêt pour les milieux aquatiques en faisant un doctorat en sciences de l’eau avec le professeur Claude Fortin au centre Eau Terre Environnement. Ses travaux de recherche portent sur l’effet du radium-226 sur 5 espèces de microalgues, dans une approche de radioécotoxicologie. Membre de la communauté étudiante de l’INRS depuis deux ans, elle s’implique dans de nombreux comités pour la vie étudiante et la communauté du centre, notamment en étant responsable des étudiants.e.s au doctorat en sciences de l’eau au sein de l’association étudiante et en étant responsable des événements dans le comité étudiant d’ecotoQ.
Imène Mazri a commencé son parcours en architecture à l’École Polytechnique d’Architecture et d’Urbanisme d’Alger (EPAU). Elle est venue à Montréal pour poursuivre un baccalauréat en design de l’environnement à l’UQÀM. Elle a par la suite intégré le programme de maîtrise en études urbaines au Centre Urbanisation Culture et Société. Dans le cadre de sa maîtrise, elle travaille sur l’adaptation des promoteurs de l’immobilier résidentiel aux changements climatiques, sous la direction du Professeur Nick Revington.
En tant qu’ambassadrice, elle souhaite faire découvrir l’INRS et promouvoir la recherche comme un milieu accessible et inclusif à des étudiant.e.s, qui, tout comme elle, sont issus de diverses disciplines.
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