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Les ambassadrices et ambassadeurs de l’INRS

11 novembre 2022 | Sophie Laberge

Mise à jour : 14 novembre 2022

Jouer un rôle-clé lors d’événements spéciaux et d’activités de recrutement tout en étudiant au 2e ou 3e cycle.

Les membres étudiants ambassadeurs de l’INRS propagent leur passion pour la science et leur institution.

Suivre un parcours de maîtrise ou de doctorat à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), c’est aussi développer un sentiment de fierté envers son établissement de recherche et de formation. Chaque année, huit membres étudiants se voient proposer de devenir ambassadrices ou ambassadeurs.

Leur rôle ? Faire rayonner l’INRS pour mieux le faire connaître comme un incontournable pour les partenariats et la formation des cheffes et chefs de file scientifiques. Ces membres ambassadeurs sont aussi invités à faire la promotion des programmes, des projets d’études et des stages en recherche, par exemple, lors des salons de l’éducation et événements carrière au Québec.

« Nos activités de recherche touchent de nombreux secteurs stratégiques et nous avons une grande variété d’expertises dans notre corps professoral. Pour mieux rejoindre le grand public, nous avions besoin des membres étudiants pour communiquer non seulement la science, mais aussi leur passion. »

Philippe-Edwin Bélanger, directeur du Service des études supérieures et de la réussite étudiante

L’INRS nomme deux membres ambassadeurs par centre, soit le Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie, le Centre Eau Terre Environnement, le Centre Énergie Matériaux Télécommunications et le Centre Urbanisation Culture Société. Les mandats sont proposés pour une année, du 1er mai au 30 avril, et peuvent être renouvelés pour une année supplémentaire. Les étudiantes et les étudiants sélectionnés reçoivent une bourse de 1 000 $ pour ce mandat.

Martin Chenal

Après un baccalauréat en microbiologie et immunologie à l’Université de Montréal, Martin Chenal a choisi l’INRS pour poursuivre ses études dans le programme de maîtrise bidiplômante en diagnostic biomédical en partenariat avec l’Université Clermont-Auvergne en France. Encouragé par des résultats de recherche prometteurs lors de sa maîtrise, il décide alors d’entreprendre un doctorat en biologie dans l’équipe du professeur Frédéric Veyrier. Il réalise ses recherches sur une famille d’enzymes auparavant inconnues provenant des bactéries du genre Neisseria. Impliqué d’abord auprès de la Fédération étudiante de l’INRS (FEINRS) puis au Journal La Synthèse, Martin connaît très bien les rouages de l’INRS.

Martin Chenal étudiant à l'INRS


« Après quatre années passées à l’INRS et de multiples implications universitaires, j’ai décidé de me joindre à l’équipe des ambassadrices et ambassadeurs pour partager mon parcours insolite et continuer de faire rayonner nos centres de recherche. »

MARTIN CHENAL


Karelle Contant

Étudiante à la maîtrise en microbiologie appliquée, sous la direction de Monique Lacroix, Karelle Contant effectue ses travaux sur le potentiel inhibiteur d’huiles essentielles sur la réplication virale d’un coronavirus. Depuis son arrivée, elle s’est impliquée dans La Synthèse, journal étudiant de vulgarisation de la recherche scientifique de l’INRS. Elle participe aussi activement au programme Apprentis chercheurs en présentant des conférences sur son parcours en recherche. Membre du comité organisateur du ComSciCon-Qcet d’InitiaSciences la communication scientifique prend une grande importance dans son parcours universitaire. Il s’agit de sa deuxième année en tant qu’ambassadrice.  


« J’adore pouvoir faire rayonner l’INRS lors des événements. J’ai un fort sentiment d’appartenance à cet établissement et être ambassadrice me permet de transmettre ma passion aux autres et de leur expliquer pourquoi l’INRS est un acteur principal en recherche scientifique. »

KARELLE CONTANT


Kevin Coutu

Après une maîtrise en biochimie et un D.E.S.S. pharmacologie clinique à l’Université de Montréal, Kevin Coutu décide de poursuivre son parcours au doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux, sous la direction de Marc A. Gauthier. Lachimie des polymères et la nanomédecine sont des expertises au cœur des intérêts des secteurs universitaires et industriels, entre autres pour leurs applications dans le développement des médicaments.


« On a tendance à croire que “tout est inventé”, alors que le paradigme actuel est que les possibilités sont infinies grâce à la recherche. C’est cette possibilité de découvertes que j’aime partager. »

KEVIN COUTU


Andrés Felipe Gonzalez Mora

À la suite de l’obtention de son diplôme d’ingénieur agricole à l’Universidad Nacional en Colombie, Andrés Felipe Gonzalez Mora effectue un stage de recherche à l’École de technologie supérieure (ETS) puis une maîtrise en sciences de l’eau à l’INRS. Au cours de son parcours au 2e cycle, il effectue également un stage de recherche à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAe) à Rennes. Très impliqué au sein de la communauté étudiante, il fait partie de l’association étudiante (AECETE) pendant deux années consécutives. Il est actuellement étudiant au doctorat en sciences de l’eau, sous la direction d’Alain N. Rousseau.


«  Je me suis engagé dans ce projet, car je considère que c’est une belle occasion de promouvoir et de faire rayonner le Centre Eau Terre Environnement. Être ambassadeur me permet de connaître l’INRS et sa communauté sous un autre angle, et de mieux le représenter pour la communauté externe intéressée. »

ANDRÉS FELIPE GONZALEZ MORA


Christophe Langevin

C’est après des études en génie géologique avec spécialisation en environnement et ressources en eau que Christophe Langevin décide de poursuivre une maîtrise, puis un doctorat en sciences de l’eau à l’INRS. Dans l’équipe de Jérôme Comte, il porte un intérêt marqué pour la génomique environnementale, l’écologie microbienne et les changements climatiques. Son projet de doctorat sur la santé des lacs au Québec est une collaboration entre le Centre d’expertise en analyse environnementale du Québec (CEAEQ) et l’INRS.


«  Il était important pour moi de mettre en valeur la mission de mon centre. L’avancement de la science est essentiel et prend forme d’abord par la promotion de ses programmes, projets d’études et stages en recherche. À l’INRS, c’est le corps professoral et ses activités de recherche dans des secteurs stratégiques qui sont un atout majeur pour la formation de la relève. »

CHRISTOPHE LANGEVIN


Naomie Léonard

Avant de s’engager dans le programme de doctorat en études urbaines, Naomie Léonard a complété une maîtrise en science politique, concentration études féministes, à l’UQAM. Ses travaux actuels portent sur les espaces et les relations que les femmes autochtones créent et maintiennent en milieu urbain afin de favoriser leur bien-être. Naomie travaille sous la direction de la professeure Stéphane Guimont Marceau.


«  J’ai décidé de devenir ambassadrice afin de participer au rayonnement des travaux de recherche et de vulgarisation menés au sein des quatre centres qui forment l’INRS. C’est également une manière pour moi d’entrer en relation et d’être un point de contact pour les membres de ma communauté étudiante.  »

NAOMIE LÉONARD


Uriel Bruno Mota

À la suite d’un baccalauréat en chimie biopharmaceutique au Mexique, pays dont il est originaire, Uriel Bruno Mota est arrivé au Québec en 2018. Il effectue d’abord un programme de maîtrise en sciences de l’énergie et des matériaux, dans le domaine de l’électrochimie. En 2020, il poursuit son parcours universitaire au doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux, sous la direction d’Ana Tavares. Il adopte une approche multidisciplinaire dans sa recherche, ce qui lui permet de travailler dans deux centres de l’INRS, soit Énergie Matériaux Télécommunications et Armand-Frappier Santé Biotechnologie.


«   Depuis mon arrivée au Québec, j’ai eu l’occasion de rencontrer plusieurs jeunes de niveau secondaire et collégial qui démontrent une grande motivation pour les sciences et la communication scientifique. J’ai décidé de m’impliquer pour leur parler de la recherche faite à l’INRS et les motiver à poursuivre des études dans les différents domaines des sciences.  »

URIEL BRUNO MOTA


Oussama Trabelsi

Diplômé au baccalauréat en administration des affaires en Tunisie, Oussama Trabelsi a occupé un poste de responsable de production. Il décide de poursuivre son parcours universitaire au Québec et est actuellement étudiant à la maîtrise en études urbaines, sous la direction du professeur Nick Revington. Ce programme multidisciplinaire lui permet d’acquérir des connaissances théoriques et des outils méthodologiques et de cerner les différents aspects des milieux urbains. Lui qui n’avait pas, à la base, une formation en sciences sociales, il peut maintenant découvrir la ville dans toutes ses dimensions.


«  Mon projet de mémoire consiste à analyser les transformations urbaines des quartiers universitaires dans les villes canadiennes entre 1981 et 2016. C’est toujours un plaisir de partager ma passion avec les gens que je rencontre, en tant qu’ambassadeur de l’INRS.  »

OUSSAMA TRABELSI

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