Un vendredi 13, tout bascule. Au début du mois de mars, des milliers de Québécois profitaient de la relâche scolaire, mais voilà qu’avec la fermeture des écoles, des parcs, des restaurants et des magasins, la société se retrouve sur pause. Tandis que le Québec entre en confinement, la pandémie de COVID-19 commence ses ravages chez les plus vulnérables.
Avec plus de 500 nouveaux cas par jour, la communauté scientifique s’active pour combattre ce virus. Des chercheuses et chercheurs aident à la détection et au développement de vaccin ou d’antiviraux. D’autres veulent comprendre les effets du stress de la pandémie sur le développement de l’enfant et les effets du coronavirus sur le cerveau.
Bien que le nombre de cas soit en baisse au Québec, le combat n’est pas gagné. En plus des enjeux de santé, la société doit aussi faire face à une vague de changement. Les chercheuses et chercheurs se questionnent sur l’avenir des milieux culturels et sur la nouvelle dynamique de l’emploi. Par ailleurs, les commandes en ligne, les webinaires et le télétravail forcent les services de télécommunications à s’adapter.
Un autre fléau qui suit de près la pandémie : la désinformation. Alors que plusieurs chercheuses et chercheurs continuent d’étudier la maladie, les étudiants et professeurs s’impliquent dans la lutte aux fausses nouvelles, des théories conspirationnistes aux remèdes improvisés.
Découvrez l’implication de l’INRS dans la pandémie causée par le coronavirus SARS-CoV-2.